ERELL

 

ERELL

2017

« À l’époque où je taguais, j’étais partagé entre l’envie de répéter mon tag avec d’autres techniques que le marqueur, d’en faire un “logo” et l’envie de passer à un système d’affichage. Me rendant de plus en plus compte que le graffiti s’adresse principalement aux graffeurs et que les trois quarts des gens ne lisent pas les tags mais les reconnaissent (pour ceux qui suivent un peu), j’ai alors commencé à styliser mon tag un peu à la Wrung à tel point qu’il ne soit plus lisible mais identifiable. Je l’ai simplifié jusqu’à ce qu’il devienne une forme géométrique simple, l’hexagone. Enfin, j’ai voulu éclater cette forme et essayer de la combiner pour en faire un motif.»
Propos recueillis par Sophie Pujas pour Artisitk Rezo
artistikrezo.com/art/erell-on-subit-moins-la-ville-quand-on-commence-a-se-l-approprier.html

 

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